Sylviane91 Inscrit le: 04.09.17 Messages: 2718Ablation thyroïde ca... |
Message: (p490124)
Posté le: 09. Avr 2018, 22:14
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Là si tu veux, cela devient quand même un peu une question de vie et de mort, ...allez, je leur donne 10 ans ou 15 ans maxi avant la nationalisation. On ouvre les paris ?
Ce sera ça ou la fin de notre pays, je pense, et la fin d'autres pays également. Ils ne savent plus s'arrêter, ils sont devenus "comme fous", ils vont tout sucer jusqu'à la moelle puis ensuite partir s'installer ailleurs (dans un autre pays), etc, etc. Leur folie tient dans le fait qu'ils scient la branche sur laquelle ils sont assis.
C'est comme un parasite sur un arbre. Certes, il y a beaucoup d'arbres, mais il y a un moment où, d'arbres en arbres, il n'y a plus de forêt...
http://www.liberation.fr/futurs/201.....-des-petits-pains_1550014
Citation: | Reste un cas à part, celui de l’Etat actionnaire, qui n’est pas le premier à montrer l’exemple : en 2016, il a perçu pour 3,9 milliards d’euros de dividendes de la part des grandes entreprises dont il détient une part du capital. Et au sein des entreprises dans lesquelles il est actionnaire majoritaire, la tentation est grande de réclamer un dividende élevé. Notamment pour boucler les fins de mois, d’un budget cruellement déficitaire. En présentant le rapport de la Cour des comptes sur l’Etat actionnaire, le mois dernier, le premier président, Didier Migaud, relevait qu’en 2015 EDF a dû s’endetter pour verser les dividendes prévus à l’Etat. La puissance publique serait-elle aussi gourmande que les plus spéculatifs des fonds d’investissement ? |
https://www.scienceshumaines.com/du.....liberalisme_fr_23367.html :
Citation: | Les politiques néolibérales ont mené à une impasse, génératrice d’un nouveau retournement idéologique. L’injection massive de liquidités dans les économies, le sauvetage d’entreprises financières en péril n’ont pas suffi à prévenir une crise d’une ampleur qui approche celle de 1929. Des dirigeants politiques connus pour leur adhésion au néolibéralisme deviennent brusquement partisans d’une « refondation du capitalisme », d’une soumission de la finance à l’entreprise, d’une réglementation de la spéculation et même de nationalisations d’entreprises. Ce n’est pas un retour intégral aux idées de Keynes, mais à un interventionnisme important. Il est impossible de prévoir le futur avec certitude – c’est l’un des messages de Keynes –, mais il y a tout lieu de croire que la domination de l’idéologie néolibérale a fait son temps. |
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