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bobette
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p204523)
Posté le: 06. Juin 2009, 13:40
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bobette a écrit: | hello,
c'est quoi la différence entre T3 & rT3 (T3 reverse) ?
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La T4 est converti en grande partie en T3 et une petite partie en T3 reverses, qui exercent aussi un certain rôle dans l’organisme malgré le fait qu’ils sont souvent considérés comme inactives. Leur nombre peut augmenter en cas d’une infection, ou la grossesse, par exemple. Il y a eu quelques études à ce sujet mais c’est vrai que les endo n’y connaissent pas grand-chose ( il y en a un qui m’avait dit que ce sont les déchets de la T3…)
Il pourrait être intéressant de faire une analyse de la r-T3 si par exemple tu as les hormones dans les « normes », surtout la T3 mais tu as trjs les symptômes d’hypo. Quand on fait une analyse de la T3 c’est le taux total des T3 qui est mesuré, on ne sait pas combien sont actifs réellement, combien il y a la dedans de la r-T3 que l’organisme n’utilise pas de la même manière que la T3… Donc on peut avoir plein des T3 dont une partie est inutilisable. Des fois, d’une certaine manière, la T3 reverse peut aussi bloquer l’action de la T3.
......................
Dernière édition par HelloU le 08. Juin 2009, 19:06; édité 1 fois |
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bobette
Inscrit le: 22.03.09 Messages: 4480Hypothyroïdie auto i... France - Lorraine sud-est 60+ |
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bobette
Inscrit le: 22.03.09 Messages: 4480Hypothyroïdie auto i... France - Lorraine sud-est 60+ |
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Invité |
Message: (p204744)
Posté le: 08. Juin 2009, 10:11
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J'ai ça dans mes archives :
LA DOMINANCE DE T3 REVERSE, OU SYNDROME DE WILSON (d'après le Dr Denis Wilson).
La T4 est convertie normalement en T3, hormone active, mais aussi en T3 Reverse, ou rT3, qui est inactive. Dans une situation normale, 40% de T4 est convertie en T3, et 60% en rT3, cette dernière est transformée en T2 puis en T1, qui est éliminée rapidement (24 heures).
Cependant, la situation peut s'inverser à la suite d'un stress prolongé :
- accouchement
- divorce
- mort d'un proche
- problème professionnel ou familial
- chirurgie ou accident.
En effet, la réponse physiologique de l'organisme face à un stress est d'augmenter la production de cortisol (par les glandes surrénales). Hors le cortisol empêche la conversion de T4 en T3 au profit de rT3. (rT3 va également être augmenté lors d'une période de jeûne, une maladie grave, une affection hépatique).
Le taux de T3 réduit qui en résulte va entraîner un ralentissement métabolique, rT3 sera éliminé moins rapidement et deviendra dominant, bloquant alors les récepteurs à T3.
Si le stress est prolongé, la dominance s'installe et persiste, même après que le niveau de cortisol soit redevenu normal, et peut perdurer pendant des semaines, des mois, voire des années.
Richard A. Marschall, N.D., un naturopathe licencié dans l'état deWashington, a été accusé d'un comportement non-professionnel suite à avoir diagnostiqué et traité des patients pour "hypothyröidie fonctionnelle" par téléphone, courrier et sur l'internet, ce qu'il faisait apparemment entre deux patients.
La condition, connue sous le nom de "Syndrôme de Wilson," a été pondue par E. Denis Wilson, M.D., de Longwood en Floride, où son permis de pratique médical a été révoqué en 1991 [1]. Ses supposées manifestations incluent la fatique, des maux de tête, le syndrôme pré-menstruel, la perte de cheveux, l'irritabilité, la rétention de liquide, la dépression, mémoire réduite, diminution du libido, des ongles malsains, augmentation de poids facile, et environ soixante autres symptômes.
Le syndrome de Wilson
Pendant environ dix années, « l'hypothyroïdisme fonctionnel » a été favorisé en tant que « syndrome de Wilson, » une limite inventée par E. Denis Wilson, M.D., qui a pratiqué en Floride au début des années 90. Les manifestations supposées du syndrome incluent la fatigue, les maux de tête, le PMS, la perte de cheveux, l'irritabilité, la conservation liquide, la dépression, la mémoire diminuée, la basse commande de sexe, les ongles malsains, le gain facile de poids, et environ 60 autres symptômes. Réclamations de Wilson avoir découvert un type de fonction anormalement basse thyroïde dans lequel les analyses de sang courantes de la thyroïde sont souvent normales. Il déclare que le signe diagnostique principal est une température de corps qui fait la moyenne au-dessous de 98.6° F (oral), et que le diagnostic est confirmé si le patient réagit au traitement avec « un traitemnet hormonal spécial thyroïde. » [1]
En 1992, le conseil de la Floride de Wilson affiné par médecine $10.000, suspendu son permis pendant six mois, et commandé lui de subir l'essai psychologique [2]. Bien qu'il ne semble pas avoir repris la pratique, ses idées sont encore promues par la
http://translate.google.com/transla.....HPEB,HPEB:2006-20,HPEB:fr
_______________________________________________
http://www.theses.ulaval.ca/2003/20983/ch01.html
3°) Hormonosynthèse proprement dite
a) Oxydation de l'iode
La transformation de l'iode minéral apporté par l'alimentation puis capté par la thyroïde en iode organique
immédiatement utilisable pour l'hormonosynthèse est sous la dépendance d'une péroxydase thyroïdienne. Il s'agit d'une
enzyme liée à la membrane qui reconnaît 3 substrats : l'iode, la thyroglobuline et l'H2O2. Le mécanisme de l'oxydation
de l'iode est mal connu.
2I→I2
Normalement, la vitesse d'organification est rapide et semble se produire essentiellement au pôle vésiculaire de la
cellule thyroïdienne en regard de la cavité folliculaire contenant la thyroglobuline.
La TSH accélère la vitesse d'organification de l'iode.
Il existe des déficits congénitaux en peroxydase où l'iode s'accumule à l'intérieur des cellules thyroïdiennes sans pouvoir
être fixé sur les tyrosines, entraînant un goitre par troubles de l'hormonogénèse.
b) Iodation
Pratiquement, en même temps que l'iode est oxydé, se produit l'iodation de la tyrosine. Cette iodation se produit alors
que les tyrosines sont déjà incluses dans la thyroglobuline. La fixation d'un atome d'iode conduit à la monoiodotyrosine,
celle d'un second atome d'iode sur le même résidu tyrosil à la diiodotyrosine.
c) Couplage
La peroxydase thyroïdienne catalyse le couplage des MIT et des DIT pour produire les thyronines ou hormones
thyroïdiennes. Ceci implique que les iodotyrosines sont situées de telle façon sur la thyroglobuline qu'elles puissent
interagir avec l'enzyme pour être couplées.
Sur le plan pratique, seules les tri et tétraiodothyronines résultant respectivement du couplage de MIT+DIT ou
DIT+DIT sont quantitativement et qualitativement actives et sont les hormones thyroïdiennes.
La 3-5-3' triiodothyronine ou T3.
La 3-5-3'-5' tétraiodothyronine ou T4 (thyroxine).
Ici encore, le couplage des iodothyronines est sous la dépendance d'une peroxydase stimulée par la TSH et inhibée par
un excès d'iode ou les antithyroïdiens de synthèses.
d) Stockage
Les hormones sont donc stockées dans la thyroglobuline. La thyroïde contient assez d'hormones thyroïdiennes pour 2 à
3 mois.
4°) La sécrétion des hormones
a) Protéolyse de la thyroglobuline
La cellule thyroïdienne sollicitée par la TSH phagocyte la thyroglobuline par pinocytose au pôle apical de la cellule. Il y
a migration des lysosomes qui contiennent des enzymes protéolytiques et dégradation de la thyroglobuline par ces
enzymes.
Les iodotyrosines sont désiodées par une déshalogénase et l'iode est récupéré par la cellule thyroïdienne.Les
iodothyronines (T4 ou T3) passent dans la circulation. Une petite fraction des hormones thyroïdiennes est libérée sous
forme de 3-3'-5' iodothyronine appelée rT3 ou T3 inverse très peu ou pas active.
Cette étape de libération des hormones est contrôlée par la TSH. Elle est bloquée par les antithyroïdiens de synthèse et
par les sels de lithium.
L'absence de l'enzyme de déshalogénation des iodotyrosines entraîne une anomalie congénitale de l'hormonosynthèse
qui conduit à un état clinique d'insuffisance thyroïdienne.
b) Les hormones thyroïdiennes circulantes
La plupart des hormones circulantes sont fixées sur des protéines plasmatiques de façon réversible selon la réaction
d'équilibre :
TBP + T ⇔ TBP-T
La TBP désigne les protéines plasmatiques transporteuses (thyroxine Binding Protein) constituées de :
- Thyroxine Binding Globulin(TBG) : concentration plasmatique 1 mg/100ml. Elle transporte T4 et T3, 60% des
hormones transportées
- Thyroxine Binding prealbumine (TBPA) : concentration plasmatique 30 mg/100ml. Elle transporte uniquement la T4,
30% des hormones transportées
- Albumine sérique non spécifique transporte uniquement la T4 correspondant à 10% des hormones transportées.
Une petite partie des hormones est libre dans la circulation (0,03% de la T4 et 0,4% de la T3). Malgré sa faible
proportion, c'est cette fraction libre qui est seule capable de pénétrer dans les cellules pour y exercer les différents effets
métaboliques. C'est l'hormone libre qui régule la sécrétion de TSH au niveau de l'axe hypothalamohypophysaire.
La concentration totale des hormones circulantes dosée par la méthode radioimmunologique est de :
- T4 = 4 à 12 mg/100ml de plasma
- T3 = 60 à 180 ng/100ml de plasma.
La demi-vie de la T4 est longue (6 jours), celle de la T3 est courte (24h)
IV. CATABOLISME DES HORMONES THYROIDIENNES
Les hormones thyroïdiennes sont dégradées au niveau du foie et du rein.
1°) Conjugaison
Les hormones peuvent être conjuguées à l'acide glycuronique et à un moindre degré à l'acide sulfurique.
Les dérivés conjugués sont excrétés par la bile. Une proportion variable est hydrolysée par les sulfatases et les
glycuronidases de la lumière intestinale et l'iodothyronine peut être réabsorbée. Cette boucle constitue le cycle
entérohépatique des hormones thyroïdiennes.
2°) Modification de la chaîne latérale alanine
La chaîne alanine peut être désaminée puis décarboxylée puis oxydée formant l'acide triiodoacétique (TRIAC) et
tétraiodoacétique (TETRAC).
15% des dérivés sont éliminés dans les selles.
3°) Désiodation
Les dérivés TRIAC et TETRAC sont désiodés. L'iode est éliminé dans les urines ou récupéré par la thyroïde.
Les hormones thyroïdiennes peuvent par ailleurs être désiodées dans les cellules. Les hormones se fixent sur les
membranes des cellules réceptrices puis pénètrent dans les cellules.
La T4 à l'intérieur des cellules réceptrices est désiodée soit en T3 soit en rT3 (T3 inverse).
La T3 est l'hormone active. Elle migre dans le cytosol vers le noyau cellulaire dans lequel elle pénètre.
Au niveau du noyau, la T3 se fixe sur un récepteur nucléaire. C'est en agissant sur la régulation de la synthèse protéique
que l'hormone produit son effet.
Alors que pour l'ensemble des cellules, la T3 est l'hormone active, la cellule antéhypophysaire productrice de TSH est
une exception car la T4 y est également très efficace, produisant une inhibition rapide et majeure de sécrétion de la
TSH.
La rT3 est pour la plus grande partie libérée dans la circulation. Dans certaines affections graves, la désiodation de la T4
est diminuée, le taux de T3 également et la rT3 augmente. |
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Invité |
Message: (p204749)
Posté le: 08. Juin 2009, 10:26
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J’ai écrit à un professeur de Cochin en avril 2007 :
« J'ai lu qu'une partie de la T4 est transformée en rT3 (non active en tant qu'hormone
thyroïdienne, et dont le rôle reste actuellement inconnu) et que la rT3 est ensuite désiodée en T2 puis en T1.
Est-ce que l'on peut affirmer que T1 et T2 sont inactives en tant qu'hormones thyroïdiennes ou doit-on faire encore des recherches pour connaître leur rôle ? »
Il m’a répondu :
« Jusqu’à maintenant, les travaux n’ont pas mis en évidence d’effets biologiques de T1 et de T2. » |
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p204799)
Posté le: 08. Juin 2009, 14:29
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Bonjour, bonjour!
Sur les forums de la musculation (surtout americains) on trouve les discussions sur la T2, entre autres...ils l'ont meme testé, mais apparement sans succes escompté .En tout cas je sais qu'on peut s'en procurer et c'est fabriqué meme par une grande marque de supplementation pour les sportifs.
Il ya eu aussi quelques recherches dans ce sens:
http://www.johnberardi.com/articles/supplementation/t2.htm
(vers le bas de la page)
ou ici:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16014396
3,5-diiodo-L-thyronine powerfully reduces adiposity in rats by increasing the burning of fats.
Lanni A, Moreno M, Lombardi A, de Lange P, Silvestri E, Ragni M, Farina P, Baccari GC, Fallahi P, Antonelli A, Goglia F.
Dipartimento di Scienze della Vita, Seconda Università di Napoli, Caserta, Italy. antonia.lanni@unina2.it
The effect of thyroid hormones on metabolism has long supported their potential as drugs to stimulate fat reduction, but the concomitant induction of a thyrotoxic state has greatly limited their use. Recent evidence suggests that 3,5-diiodo-L-thyronine (T2), a naturally occurring iodothyronine, stimulates metabolic rate via mechanisms involving the mitochondrial apparatus. We examined whether this effect would result in reduced energy storage. Here, we show that T2 administration to rats receiving a high-fat diet (HFD) reduces both adiposity and body weight gain without inducing thyrotoxicity. Rats receiving HFD + T2 showed (when compared with rats receiving HFD alone) a 13% lower body weight, a 42% higher liver fatty acid oxidation rate, appoximately 50% less fat mass, a complete disappearance of fat from the liver, and significant reductions in the serum triglyceride and cholesterol levels (-52% and -18%, respectively). Thyroid hormones and thyroid-stimulating hormone (TSH) serum levels were not influenced by T2 administration. The biochemical mechanism underlying the effects of T2 on liver metabolism involves the carnitine palmitoyl-transferase system and mitochondrial uncoupling. If the results hold true for humans, pharmacological administration of T2 might serve to counteract the problems associated with overweight, such as accumulation of lipids in liver and serum, without inducing thyrotoxicity. However, the results reported here do not exclude deleterious effects of T2 on a longer time scale as well as do not show that T2 acts in the same way in humans
PMID: 16014396 [PubMed - indexed for MEDLINE
" L'effet des hormones thyroïdiennes sur le métabolisme a longtemps soutenu leur potentiel en tant que médicaments pour stimuler la réduction de la graisse, mais l'induction d'un traitement concomitant thyrotoxic État a grandement limité leur utilisation. Des preuves récentes suggèrent que le 3,5-Diiodo-L-thyronine (T2), une iodothyronine naturel, stimule la vitesse du métabolisme à l'aide de mécanismes impliquant l'appareil mitochondrial. Nous avons examiné si cet effet serait de réduire le stockage de l'énergie. Ici, nous montrons que T2 administration à des rats recevant une alimentation riche en graisses (HFD) réduit à la fois d'adiposité et le gain de poids sans induire thyrotoxicity. Les rats recevant HFD + T2 ont montré (en comparaison avec les rats recevant HFD seul) a 13% moins de poids corporel, de 42% supérieur à l'oxydation des acides gras du foie taux appoximately 50% moins de masse grasse, une disparition complète de la graisse du foie, et d'importants des réductions dans les taux sériques de triglycérides et de cholestérol (-52% et -18%, respectivement). Les hormones thyroïdiennes et l'hormone stimulant la thyroïde (TSH) sériques ne sont pas influencés par l'administration T2. Le mécanisme biochimique qui sous-tendent les effets de T2 sur le métabolisme hépatique implique la carnitine palmitoyl-transférase et de découplage mitochondrial. Si les résultats serait le même pour l'homme, la pharmacologie de l'administration T2 pourrait servir à lutter contre les problèmes liés à l'excès de poids, tels que l'accumulation de lipides dans le foie et le sérum, sans provoquer de thyrotoxicity. Toutefois, les résultats présentés ici ne ne peuvent pas exclure les effets néfastes de T2 sur une plus longue échelle de temps, ainsi que ne montrent pas que la T2 agitirait de la même façon chez l'homme. "
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p204857)
Posté le: 08. Juin 2009, 19:03
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Donc, la suite (T1)
http://curezone.com/forums/fm.asp?i=922849
"T1
http://www.ohsu.edu/unparchive/2004/051604thyroid.html
"La structure de la molécule, sa puissance et de rapidité d'action donnent à penser que c'est un neurotransmetteur inconnu auparavant, a déclaré Thomas Scanlan, Ph.D., co-auteur de l'étude et professeur de chimie pharmaceutique et de la pharmacologie moléculaire et cellulaire à l'UCSF.
«Bien que les changements au les niveaux d'hormones peuvent montrer leur effet au bout d’une journée seulement, les neurotransmetteurs peuvent agir dans les minutes ou dans lheure qui suit», dit Scanlan. "T1 agit rapidement, et il a une structure chimique semblable à la dopamine ou la sérotonine. Comme il ressemble à un neurotransmetteur et agit comme un neurotransmetteur, nous émettons l'hypothèse que c'est un neurotransmetteur ».
"Maintenant que la composition d’amine de la T1 a été trouvée, et ses effets biologiques observés, Grandy espère étudier ses liens éventuels de dépendance à la drogue et d'autres troubles de santé mentale ».
»Fait intéressant, les amphétamines et l'ecstasy utilisent aussi ce récepteur», dit-il. «J’espere que les futures études prendront cette direction […] »
il s'agit donc d'un stimulateur pour le cerveau mais aussi de la réduction de la dépendance des impulsions, y compris les excès, a été signalée par de nombreux pays[…] "
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bobette
Inscrit le: 22.03.09 Messages: 4480Hypothyroïdie auto i... France - Lorraine sud-est 60+ |
Message: (p204871)
Posté le: 08. Juin 2009, 19:38
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ben...euh...
1) va falloir que je révise mon anglais
2) les traductions Google = beurk
3) suite hypothyroïdie, j'ai pas encore récupéré mon QI phénoménal (va encore falloir que j'augmente le lévo ?) alors faut me mettre tout ça à mon niveau !
4) quelle est la fiabilité de ces divers sites cités ? |
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p204872)
Posté le: 08. Juin 2009, 19:49
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Le site pubmed est on ne peut plus serieux et de confiance, le site de Curezone me semble bon, egalement
Concernant les traductios automatiques de Google c'est clair, souvent pas tres comprehensibles, il vaut mieux se mettre a l'anglais.
PS
Tout ça c'est juste pour dire que chaque substance fabriquée par l'organisme a son utilité. Je ne sais pas si les informations sur la T1 et T2 peuvent nous servir, dans l'immediat. C'est pas pareil par contre concernant la T3 |
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p251115)
Posté le: 22. Mai 2010, 16:39
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Une explication sur la RT3:
http://thyroide-fibromyalgie.blogsp.....everse-t3-non-active.html
Citation: |
La rT3 ou T3 reverse = T3 non active.
Dernière mise à jour : 26/03/2009
Un ennemi très important : les hormones dites "reverse"
En général, environ 80 % des T4 sont converties en T3 (désiodation périphérique de la T4 sous l'effet de la 5' monodésiodase.) T3 qui est donc l'hormone réellement active.
Cette hormone est également sécrétée en faible quantité directement par la thyroïde.
Les autres 20 % (environ) de la T4 permettent de fabriquer à leur tour les T1 et les T2 qui fixent l'iode dans la thyroïde.
Mais les T4L peuvent aussi être converties en r-T4.
La T4 et la T3 sous forme libre sont captées par les tissus par des mécanismes mal connus. Dans les tissus, notamment le foie, la T4 peut être transformée en T3 qui est la véritable molécule active, ou transformée en rT3 (reverse triiodothyronine dépourvue d'activité thyromimétique). La transformation de T4 en T3 est assurée par une enzyme l'iodothyronine 5'-désiodase dont on distingue deux types : le type I présent dans la thyroïde, le foie, le rein et le type II présent notamment dans le cerveau. La 5'-désiodase de type I est une enzyme à sélénium, cet élément étant incorporé dans une sélénocystéine. Cette enzyme est inhibée par le propylthiouracile, le propranolol et l'acide iopanoïque, agent de contraste non commercialisé en France.
Donc il faut bien savoir que lorsqu'on analyse les T3 lors d'une prise de sang, sont donc comptabilisées les r-T3 + les T3 mais sans aucune distinction. Et c'est ce qui peut expliquer que souvent même avec des T3 en quantité suffisante, on peut se retrouver avec des symptômes d'hypothyroïdie importants. Mais malheureusement les médecins eux n'en tiennent nullement compte. Ils se fient uniquement aux chiffres et quand encore ils acceptent de faire analyser les hormones.
La r-T3 est donc un ennemi direct de la T3 qui est absolument (pour rappel) nécessaire à CHAQUE cellule de l'organisme.
En effet, la r-T3 peut bloquer l'action de la T3.
Les T4 ont elles aussi leur côté "reverse" et donc les r-T4 (inactive par action de la 5 mono-désiodase).
Lorsqu'il y a suffisamment d'hormones T4 dans le sang pour produire les hormones T3, l'organisme transforme alors les T4 qui n'ont pas servit d'une façon ou d'une autre et qui n'ont pas été éliminées, en r-T4 et plus souvent en r-T3.
Cela permet de ne pas se retrouver avec un excès de T4 que l'organisme pourrait se mettre à convertir en T3 ce qui provoquerait alors une hyperthyroïdie.
Donc en fait les r-T3 et r-T4 sont utiles à un moment mais peuvent devenir le pire ennemi des hormones qui nous sont vitales : les T3 libres.
Certains évènements (vois liste ci-dessous) peuvent amener l'organisme à produire plus d'hormones T4 qu'il pourrait alors convertit en hormones T3 reverse, ce qui entraînerait que même avec beaucoup de T3 (donc actives,) on serait en hypothyroïdie. Les r-T3 pouvant alors agir sur l'action même des T3, explication de ce phénomène juste après.
Mais surtout ces évènements peuvent amener l'organisme à carrément se tromper et qui se mettra alors à produire plus de r-T3 au lieu même des T3 qui ne seront elles plus produites. Donc l'hypothyroïdie serait très fortement ressentie mais pas pour autant visible aux analyses de sang.
Les T4 et un peu de T3 sont produites, comme nous le savons, normalement par la thyroïde alors que les r-T4 et r-T3 sont produites par la mono-deiodisation de la thyroxine dans les tissus périphériques de différents organes.
Les r-T3 ont cependant tendance à bloquer l'action des T3, qui en règle générale, savent résister, mais quand il n'y a pas de maladie thyroïdienne.
Lorsqu'une pathologie thyroïdienne existe comme par exemple Hashimoto, mais aussi d'autres pathologies citées ci-dessous, la résistance est moins importante et donc même avec une quantité suffisante de T3 (actives), on peut être en hypothyroïdie car les r-T3 vont empêcher les T3 d'atteindre les cellules et que celles-ci puissent remplir leur rôle.
Les pathologies qui peuvent empêcher la conversion des T4 en T3 mais en favorisant les r-T3 sont :
• un stress important et ce quel qu'en soit la raison (divorce, licenciement, mort d'un proche, chirurgie,....),
• une maladie hépatique,
• un régime hypocalorique
• des régimes privatifs
• des régimes hyperprotéinés,....
Au niveau du stress, comme on le sait, il a tendance à faire grimper le taux de cortisol qui lui va empêcher la conversion des T4 en T3, mais favorisera en plus les r-T3.
Plus la pathologie va perdurer plus la T3 sera éliminée et donc plus il y aura de r-T3.
Mais le problème est, je le rappelle, que une simple analyse de sang, ne peut pas différencier les T3 actives des non-actives et donc les médecins disent "c'est bon" alors qu'en fait cela ne l'est pas, d'où parfois (et même souvent) on peut avoir des T3 correctes voire même de trop et avoir tous les symptômes de l'hypothyroïdie.
Et le problème est donc que les r-T3 se mêlant au T3 dans la prise de sang, on ne peut donc pas savoir quelles sont les T3 présentes. Il faut une analyse spécifique pour le savoir. Analyse qui ne se fait pas dans les laboratoires classiques.
Des traitements médicamenteux peuvent aussi être à l'origine de problèmes d'interprétations des résultats, car directement liés à la production des r-T3 ou à la suppression de la production des T3 :
• produits anesthésiants
• des composés organiques iodés
• les corticoïdes
• le Propranolol,
• la Clomipramine
• l'amiodarone
• Le Phénobarbital,
• la Carbamazépine,
• le Primidone, ...etc.
Ici en France, on n'analyse pas les r-T3 ce qui par ailleurs provoque alors certaines erreurs de diagnostic.
Le problème tient surtout du fait que les médecins ne tiennent absolument pas compte de la possibilité de la présence de ces r-T3. Ils les zappent complètement.
Le principe existe aussi avec les T4 et donc présence possible aussi de r-T4, ce qui peut entraîner une quantité supérieure de T4 mais qui ne pourront pas être converties en T3.
Donc concrètement :
Lorsqu'il y a trop de T4, l'organisme, peut synthétiser des T3 pour empécher l'hyperthyroïdie mais en produisant non pas des T3 actives mais des T3 reverse donc les r-T3.
Donc en fait on peut se retrouver avec un taux de T4 abaissé, ainsi que beaucoup de T3 mais être bel et bien en hypothyroïdie,. Ce qui est normal car comme on le sait les T3 et les r-T3 sont analysées en groupe lors de nos bilans. La distinction des deux formes de T3 n'étant pas faite. Ce qui pourtant serait une sacrée aide pour nous tous.
Donc ainsi on pourrait déjà savoir exactement les besoins réels de T4 qui nous donnerait les T3 actives nécessaires sans risquer la présence des r-T3. Mais cela nécessite donc l'analyse des T3L et des r-T3.
De quoi faire réfléchir votre médecin.
On sait donc que le seul traitement prescrit habituellement est un traitement à base de T4 qui peut ne pas être suffisant du tout en cas de la monodésiodase qui empêchera la conversion en T3.
Et l'analyse des hormones thyroïdiennes simple T3L et T4L n'est pas suffisante non plus et on devrait pouvoir faire analyser aussi les r-T3 et les r-T4.
Ce qui bien entendu, implique encore plus que la seule petite TSH est insuffisante pour déterminer l'importance d'une pathologie thyroïdienne, malgré ce que bien souvent les médecins nous rabâchent.
Dans le cas, où un excès de r-T3 est bien observé, la seule façon de traiter ce problème est de diminuer ou d'arrêter la prise de T4. Les r-T3 étant produites par l'organisme à partir de la T4 = plus de T4 = plus de r-T3.
La prise de T3 par Cynomel, alors est nécessaire dans ce cas, car les hormones sont vitales à l'organisme et surtout donc les T3. Euthyral contenant de la T4 on évitera. |
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Beate
Inscrit le: 10.10.00 Messages: 50450Carcinome papillaire... 60+ |
Message: (p251118)
Posté le: 22. Mai 2010, 16:58
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Bonjour,
il faut un petit peu se méfier des articles qu'on trouve sur ce blog - les explications générales sont, le plus souvent, tout à fait valables, mais quand ça devient trop technique, c'est moins évident, j'y a déjà relevé quelques erreurs assez importantes, dans d'autres articles (nous en avons récemment parlé avec Sandrillon, à propos de la demi-vie et du "cumul des dosages : Message ).
Et le problème, avec les articles sur le blog fibromyalgie, c'est que Chris n'indique pas ce qu'elle a recopié d'une autre source, et ce qu'elle a rédigé toute seule, en interprétant à sa manière ce qu'elle a lu ailleurs ... donc, difficile de démeler le vrai du faux, ce n'est pas "parce que c'est écrit sur Internet" (sur ce blog-là, ou ailleurs, p.ex. sur un forum) que c'est forcément exact, et certaines erreurs se répercutent d'un site sur l'autre, il suffit d'une seule source, que tout le monde recopie ...
Donc, je ne sais pas ce qu'il faut en penser, de cet article sur la rT3 et rT4 sur le site de Chris - pour savoir si tout ce qui est dit est vraiment exact, il faudrait essayer de recouper avec d'autres sites, notamment des sites médicaux !
Bonne soirée !
Beate |
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HelloU
Inscrit le: 13.02.09 Messages: 228Hashimoto IDF 30+ |
Message: (p251133)
Posté le: 22. Mai 2010, 18:40
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Bonsoir, Beate
Je vais lire tout a lire cette discussion, dont tu parles, je suppose q'elle est tres interessante..
Par contre, malgré quelques inexactitudes éventuels, les écrits de Chris rejoignent ce que j'au pu lire un sur les sites qui abordent ce sujet.
Effectivement, ça sera bien que Chris cite ses sources. Je vais le lui suggérer.
En tout cas, je trouve qu'elle elle a bien cerné le pourquoi du danger de la T3r.
@ toutes ! |
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HelloU
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HelloU
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