| Auteur |
Message |
Beate
Inscrit le: 10.10.00 Messages: 50593Carcinome papillaire... 60+ |
Message: 
(p548235)
Posté le: 18. Nov 2021, 19:24
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Reste que le tableau et les chiffres cités ne nous sont vraiment pas utiles (cf. explications données dans mon message précédent), ces chiffres, comparés à la taille des deux groupes, ne sont absolument pas « significatifs » et n’apportent rien au débat.
Merci de ne pas éterniser des débats aussi stériles. |
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ki
Inscrit le: 09.03.18 Messages: 3448Basedow - Thyroïdect... Bordeaux |
Message:
(p548236)
Posté le: 18. Nov 2021, 20:20
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| Beate a écrit: | | ces chiffres, comparés à la taille des deux groupes, ne sont absolument pas « significatifs » |
Je ne te le fais pas dire. C'est pourtant sur la base de cette étude Pfizer (2*20000 sujets) que la grande efficacité sur la mortalité a été revendiquée. |
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Atsopie
Inscrit le: 06.05.21 Messages: 152Hashimoto Bordeaux 40+ |
Message:
(p548238)
Posté le: 18. Nov 2021, 23:25
 Merci. Ce message m'a été utile ! ont dit : mounia, lin
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Je comprends Béate, que cela devienne épuisant et éreintant, car en effet nous ne sommes pas des spécialistes des vaccins ARN... Et il faut bien endiguer la propagation de ce fichu virus si imprévisible !!
Mais je trouve que qualifier les propos de Ki de "stériles" est injuste : elle se base sur les documents qu'elle trouve, dont elle communique les liens, et comme tous les non vaccinés qui subissent une pression de plus en plus lourde (sans parler de la menace d'un confinement à l'autrichienne qui commence à planer), elle doit être très, très embarrassée. Entre la volonté que l'on a tous de se conformer au groupe et à la majorité.... et ce doute horrible que l'on ne peut pas être sûr à 100 % de l'innocuité de ce produit et des rappels aussi fréquents.
Surtout avec des labos américains devenus si puissants que l'adage "too big to fail" pourrait probablement leur être appliqué, et qu'il semble très difficile d'engager leur responsabilité en cas de soucis.
Pythagore ne disait-il pas "Dans le doute, abstient toi".
Bonne chance à tous !
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| Pierre49 Inscrit le: 23.10.19 Messages: 418Carcinome papillaire... Paris 50+ |
Message:
(p548239)
Posté le: 19. Nov 2021, 00:26
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Bonsoir,
l'étude de Phase 3 de Pfizer n'a jamais eu pour objectif d'étudier l'impact sur la mortalité du vaccin mais l'efficacité (malade / pas malade).
L'impact sur la mortalité a été démontré par les études en vie réelle, de même que l'impact sur l'hospitalisation.
Celui/celle qui a un doute sur les effets secondaires, comme Atsopie, je comprends qu'il/elle s'abstienne.
Celui/celle qui ne supporte pas la communication des labos et des gouvernements, c'est son droit.
Mais il faut rester lucide.
Pierre |
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ki
Inscrit le: 09.03.18 Messages: 3448Basedow - Thyroïdect... Bordeaux |
Message:
Posté le: 19. Nov 2021, 07:40
Merci. Ce message m'a été utile ! ont dit : Brittany, aurore75, , lin
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Oh merci Atsopie de récompenser mes efforts pour aller chercher l'info à la source. J'ai appris à me méfier des chaînes d'information comme des influenceuses qui placent un produit dans un selfie.
Transmises par Pfizer à la FDA, les données que j'ai partagées laissent à désirer, comme Peter Doshi entre autres l'a démontré. S'entendre reprocher "des chiffres non significatifs" alors que c'est justement ce que je soulignais, est non seulement injuste mais surtout inutile.
Quant à entendre Beate qualifier les questions d'efficacité et d'innocuité de "polémiques stériles", c'est juste inconcevable. Intolérable même quand des amis sont touchés. Six mois que l'une saigne et qu'elle refuse bien sûr de vacciner sa fille, craignant pour sa fertilité. "Stérile" était finalement peut-être approprié.
Distilbène, Dépakine, Essure,... à croire qu'on n'a appris des scandales qui se sont multipliés qu'à être toujours plus docile. Toujours plus docile que l'on soit citoyen, sujet, patient ou médecin. Et comme nous restons silencieux, la destruction continue.
| Citation: | Pourquoi nous, médecins, sommes-nous restés silencieux ?
En tant que médecin de l'hôpital du NHS, j'ai été aux premières loges alors que le drame de la pandémie de coronavirus se déroulait. Cela a été un an et demi de confusion, de frustration et de colère pour moi alors que j'ai vu notre profession devenir complice de ce que je prévois être considéré comme l'une des catastrophes de santé publique les plus flagrantes de l'histoire.
J'ai vu "la science" être présentée sur la scène nationale flanquée de drapeaux Union Jack comme une vérité inattaquable. Pour quelque chose d'aussi apparemment inviolable, il semble changer et changer de manière déconcertante d'une semaine à l'autre, et pour ceux d'entre nous qui regardent sous la pompe les données simples, nous voyons la vérité plutôt peu excitante (et immuable) : le nouveau coronavirus SARS-CoV- 2, en fin de compte, a un taux de mortalité par infection beaucoup plus faible que les premières prédictions. Elle est moins mortelle que la grippe saisonnière chez les enfants. L'Office for National Statistics a signalé que l'âge moyen d'un décès attribué à Covid au Royaume-Uni était de 80,3 ans, légèrement plus élevé que les décès dus à d'autres causes (78,2 ans sur la période comparable).
Ce qui m'a le plus bouleversé, c'est la conformité inconditionnelle de la communauté médicale alors que des mesures de contrôle des virus de plus en plus draconiennes, non fondées sur des preuves et destructrices ont été mises en œuvre. Une partie de la corruption manifeste, des conflits d'intérêts financiers et de la politisation a été mis à nu dans des éditoriaux de revues médicales de premier plan telles que le BMJ. Mais la grande majorité des médecins n'ont eu aucun intérêt à poser des questions ou à chercher plus loin.
Mon inquiétude quant à notre passivité professionnelle s'est transformée en alarme car notre conformité nous a obligés à soutenir le déploiement d'un vaccin expérimental auprès d'une population de confiance.
Contrairement aux principes de base de la médecine factuelle, déclarer une intervention médicale expérimentale « sûre et efficace » ne semble désormais nécessiter aucune preuve évaluée par des pairs d'innocuité ou d'efficacité cliniquement significative. Il n'a pas été démontré dans les essais cliniques que les vaccins réduisent la transmission, l'hospitalisation ou la mortalité . Les essais de phase 3 ne sont pas terminés et les données de tolérance ne sont pas complètes ; les premiers essais se dérouleront jusqu'en 2023.
Le formulaire de consentement pour le vaccin Covid-19 ne divulgue pas son statut de produit expérimental sans licence. Les risques restent largement inconnus, bien qu'il devienne clair que le vaccin a entraîné la mort ou des blessures chez un nombre croissant de personnes en bonne santé. Un nombre croissant de syndromes induits par la vaccination sont reconnus, notamment la thrombocytopénie thrombotique immunitaire, la myocardite et les irrégularités menstruelles, parmi de nombreux autres publiés dans la littérature. Au moment de la rédaction de cet article, plus de 380 000 rapports, 1,2 million de blessés et 1 700 décès ont été soumis dans le cadre du programme de carte jaune de la MHRA.
Le Premier ministre lui-même a communiqué les dernières preuves, que deux doses du vaccin n'empêchent pas une personne de contracter le virus, ni n'arrêtent la transmission de personne à personne, elles réduisent simplement la gravité des symptômes. Malgré cela, il est clair que le public est soumis à une campagne médiatique incessante de honte et de coercition, qu'il doit prendre ce produit expérimental « pour le plus grand bien » de peur d'être considéré comme un lâche égoïste. Un passeport vaccinal est maintenant susceptible d'être déployé dans le cadre du «plan B», qui propose de rendre les droits de l'homme et les libertés fondamentales illégalement usurpés aux seuls vaccinés. Les travailleurs du secteur des maisons de soins ont eu leurs moyens de subsistance liés à leur conformité aux mandats des vaccins, et une annonce récente confirme que cela inclura bientôt les employés du NHS. Non seulement il n'y a aucune base scientifique à ces mandats, mais ces actions coercitives violent le Code de Nuremberg, tout comme le manque sans précédent de données sur la sécurité animale pour un nouveau produit médical. Une trahison du Code de Nuremberg constitue un crime contre l'humanité.
Cela ne s'arrête pas là. La campagne continue et comprend désormais la vaccination des enfants contre une maladie qui a une chance statistiquement négligeable de leur nuire. Dans le monde de la médecine factuelle, nous, les médecins, devons peser les risques et les bénéfices, nous devons nous assurer que le risque de préjudice est largement dépassé par le potentiel de protection ou de guérison. Dans ce cas, sans risque réel d'infection pour les enfants en bonne santé , tout préjudice est totalement injustifiable. Et le risque de préjudice est bien réel et mesurable. La myocardite d'origine vaccinale est désormais une lésion reconnue, le risque étant inversement proportionnel à l'âge. Bien que rare, la myocardite peut être mortelle, et la mortalité est plus fréquente dans la population plus jeune. Pour des raisons qui n'ont rien à voir avec la santé, et bien que le conseil consultatif du JCVI ait conclu que les bienfaits pour la santé ne l'emportent pas sur les risques pour les enfants, le gouvernement nous conseille d'administrer un médicament qui comporte un risque de blessure grave pour les enfants en bonne santé et qui ne courent aucun risque significatif de la maladie contre laquelle il prétend les protéger.
Malgré tout cela, et malgré notre formation à regarder la littérature et les données scientifiques avec un œil critique, le silence de la communauté médicale au Royaume-Uni a été assourdissant. C'est pourtant nous qui devrions crier tout cela sur les toits. C'est un devoir de diligence et un serment que nous avons oubliés.
Ce sont généralement ceux d'entre nous les plus conditionnés par les attentes de la société, totalement obéissants et déférents à l'autorité, qui accèdent à la médecine. On peut voir le chemin : nous étions de bons enfants dociles puis de bons élèves dociles. Maintenant, nous sommes de bons médecins dociles. Je commence à comprendre que la bonté se mesure différemment et que l'obéissance n'est pas une vertu.
L'obéissance s'apprend par la peur, la menace et l'intimidation ; il s'agit en fait d'une programmation traumatique et réalisée par de petits gestes de contrôle lorsque nous étions jeunes et impuissants. Maintenant, nous sommes des adultes, mais nous opérons toujours dans le cadre de ces programmes d'enfance de croyances et de peurs. Nous nous sentons toujours impuissants et redevables à une autorité supérieure. Nous nous soumettons toujours à un décret faisant autorité même lorsqu'il outrepasse notre boussole morale inhérente.
Les horreurs de l' expérience classique de Milgram ont démontré que nous vivons dans une culture profondément traumatisée, et le même conditionnement, à mon avis, a façonné la communauté médicale et son silence.
Même à l'occasion où mon contre-récit ne peut être nié par un collègue, la réponse habituelle est : « Cela vient du gouvernement ; nos mains sont liées. Mais la vérité est que la plupart du temps, les médecins ne veulent pas voir les preuves ; leur subconscient les a empêchés de voir que les autorités parentales du gouvernement, Sage et la MHRA, sur lesquelles nous projetons une confiance enfantine, pourraient être malavisées, corrompues ou malhonnêtes.
Et nous nous commentons donc mutuellement sur tous les changements auxquels nous assistons depuis des mois dans le déploiement du vaccin : l'augmentation inhabituelle des admissions à l'hôpital, les maladies auto-immunes et les troubles de la coagulation post-injection, le nombre de patients à « double dose » admis avec infection grave à Covid, le nombre de vies ruinées par le verrouillage et d'autres politiques de contrôle de Covid. Je défie n'importe quel médecin de nier que tout cela semble tout simplement faux. Pour éviter ce sentiment inconfortable, authentique et humain – une information importante sur laquelle il faut agir – nous chercherons quelque chose par cœur. « L'anecdote n'est pas une preuve » et « la corrélation n'est pas une causalité » seront la justification pour continuer, sans poser de questions, même si la plupart des mesures de contrôle préjudiciables mises en œuvre d'en haut n'étaient basées sur aucune preuve. Pendant ce temps, un NHS déjà en difficulté a été endommagé de manière irréparable par bon nombre de ces politiques. Nous sommes submergés par la demande que nous ne pouvons pas satisfaire, et la complexité de la crise se sent bien au-delà d'un seul hôpital Trust. Le locus de la responsabilité d'enquêter reste au-dessus de nous et nous attendons que quelqu'un avec plus d'autorité vienne et lui donne un sens.
Et comme nous restons silencieux, la destruction continue.
La plupart d'entre nous sommes allés en médecine pour les bonnes raisons : aider les personnes vulnérables, réduire la souffrance. Je sais que mes collègues sont gentils et bien intentionnés et que leur confiance en nos décideurs politiques de santé publique non élus est le résultat d'une vie de conditionnement. Pour ceux d'entre nous qui ont regardé les données et vu la vérité, je comprends la peur : le risque de non-conformité est immense ; carrières, réputations et moyens de subsistance sont en jeu. Je reconnais une menace encore plus grande : une menace pour notre profession choisie, notre but dans la vie, la possibilité que nous ayons suivi un faux dieu dans nos intentions honnêtes d'aider les malades. Nous sommes à un carrefour difficile, mais le choix pour moi est clair.
Bien que je ne sois pas en première ligne dans la « lutte » contre le coronavirus, et que je n'aie rien à voir avec la campagne de vaccination, je me sens complice de cette tromperie publique. Je ne peux plus me cacher dans un système qui s'est révélé faible et peu disposé à s'opposer à l'érosion irrévocable des droits humains et des libertés inaliénables au nom de la sécurité de la santé publique. Il est plus que temps pour nous de grandir, de nous lever et de nous exprimer.
Lucie Wilk - November 15, 2021
Les opinions exprimées par l'auteur sont les siennes et ne reflètent pas nécessairement les vues du NHS Hospital Trust où elle est actuellement employée. |
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coco9
Inscrit le: 16.10.11 Messages: 266Hypothyroïdie + adén... 70+ |
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| Brittany Inscrit le: 23.12.16 Messages: 301Thyroidite auto-immu... |
Message:
(p548264)
Posté le: 20. Nov 2021, 00:32
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merci Ki.
(apparemment, à plus de 3 "merci" ça bugge et tu ne peux plus avoir de petite étoile) |
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| mounia Inscrit le: 07.04.13 Messages: 498Hashimoto détectée e... Seine Maritime |
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| patrick29 Inscrit le: 16.06.19 Messages: 94 |
Message:
(p548338)
Posté le: 25. Nov 2021, 15:35
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Nouvelle escalade aujourd'hui dans la dictature sanitaire :
- passage de la validité des tests de 72 h à 24 h
Cette fois-ci ils nous disent que c'est clairement pour forcer les non-vaccinés à se faire vacciner car on sait très bien que la durée d'incubation est de 3 à 5 jours minimum donc aucun argument scientifique là-dedans.
Ca devient un casse-tête pas possible surtout pour ceux qui doivent se rendre à l’hôpital régulièrement. Cela va devenir ingérable pour les personnes concernées.
Pendant ce temps les vaccinés pourront continuer à circuler et propager le virus.
- 3 ème dose validée pour tous
Puis une 4ème, 5ème ad vitam æternam...
puis la vaccination des 5-11 ans
le bilan des effets indésirables ne sera pas folichon à l'arrivée ...
Un tel niveau d'incompétence me sidère et j'espère que ces gens devront rendre des comptes le moment venu. |
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| mounia Inscrit le: 07.04.13 Messages: 498Hashimoto détectée e... Seine Maritime |
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shannon
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Message:
(p548353)
Posté le: 26. Nov 2021, 00:54
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c'est bizarre que le gouvernement australien indemnise les effets secondaires du vaccin............
à moins qu'il n'ait rendu le vaccin obligatoire
et dans ce cas il a engagé sa responsabilité.
ce qui ne peut se produire en France où l'obligation n'est pas franchement établie 
_________________
Vivre avec des-espoirs |
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| Biba |
Message:
(p548356)
Posté le: 26. Nov 2021, 11:52
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En effet, c'est très pervers cette obligation vaccinale qui ne dit pas son nom et qui n'est sensée ne générer aucun effet secondaire 
Ca n'a rien à voir, mais je suis en contact journalier avec des amis en Inde où je vais souvent. Les Indiens ont connu une seule grosse vague au printemps mais depuis, c'est assez calme dans ce pays ou très peu de gens sont vaccinés. Hier, j'ai reçu ce mail : "Now there are less than 10 000 cases per day in entire India that are found on a daily basis which is very negligible". Pour mémoire, pour une population de 1 milliard 350 000 millions d'habitants où les naissances sont contrôlées et les adultes plutôt obèses ! |
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bobette
Inscrit le: 22.03.09 Messages: 4481Hypothyroïdie auto i... France - Lorraine sud-est 70+ |
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| Pierre49 Inscrit le: 23.10.19 Messages: 418Carcinome papillaire... Paris 50+ |
Message:
(p548373)
Posté le: 28. Nov 2021, 01:02
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Pas évident de comparer ce qui se passe dans des pays différents Biba.
J'ai lu un article au sujet de l'Inde qui indiquait comme piste d'explication, en dehors de la sous-estimation des chiffres qui est propre aux pays en voie de développement, le mode de vie des Indiens. Le papier indiquait que 80 ou 90% des travailleurs indiens exerçaient leur activité en extérieur. Et comme les contaminations ont plus lieu en intérieur, cela était plus favorable que dans d'autres pays. D'ailleurs, ls grandes villes en Inde ont été touchées de manière radicalement différentes des campagnes.
Mais perso, je pense que l'âge de la population est aussi un facteur déterminant. L'âge médian en Inde est de seulement 26 ans par rapport à 43 ans en Europe. C'est une différence énorme. Seule l'Afrique, avec 20-22 ans, est en-dessous. Et le climat de l'Inde est très différent de ce qu'il est chez nous.
Quand on ajoute la différence dans l'histoire immunitaire de populations très différentes, on comprend qu'il est très difficile de faire des comparaisons entre pays, surtout appartenant à des zones géographiques différentes.
Pierre |
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ki
Inscrit le: 09.03.18 Messages: 3448Basedow - Thyroïdect... Bordeaux |
Message:
(p548374)
Posté le: 28. Nov 2021, 09:40
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| Pierre49 a écrit: | | Pas évident de comparer ce qui se passe dans des pays différents Biba. |
Hasardeux oui. Pourtant, un twt malhonnête de la Commission européenne n'hésite pas à attribuer une mortalité plus faible à un taux de vaccination plus élevé... en se gardant de considérer les taux de mortalité antérieurs des pays qu'elle montre du doigt. Aucune hausse : mortalité systémique, pas épidémique (cf. fichier joint).
Bon dimanche |
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